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Ici n'est ma place ni mon temps
Même si c'est ici qu'est ma propre peau
Je peux finalement commencer
A laisser ce siècle m'ignorer.
Lorsque je reste sous le ciel de la nuit
Et que demain ne veut plus rien dire.
Je n'étais qu'une petite fée,
Je me sentais presque en vie
Lorsqu'au son de cette symphonie
J'ai prié au loin une étoile magique,
Aujourd'hui les souvenirs disparaissent
Je peux à peine me rappeler cette mélodie.
J'ai observé la fin de ce siècle
Compressé dans un minuscule écran.
Et cette petite fée mourante, tombante ne pouvait voir
Que quelque chose se finissait.
Fais-tu semblant ?
Ou avons nous eut ces mêmes sentiments ?
Jamais je n'aurais pu prévoir...
Il se moque, fait des tours maintenant.
Dans la nuit il y a quelque chose de sauvage
Je peux l'entendre respirer, c'est mon esprit
Car mon cœur lui est en panne et meurtri.
Cette nuit il y a quelque chose de vivant
Sans l'entendre je le sens, ça me quitte...
C'est la vie...
- Imagine -
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Dans la nuit, cette douce mélodie, embellit ma vie.
Belle symphonie qui à mes yeux resplendit.
Une musique du cœur dans tous ces accords.
Pénétrant mon âme, parcourant mon corps.
Sans modération vibrante au son de l'amour.
Je bois cet air au grand jour.
Mélodie du plaisir caressante sans désaccords.
Matins tendresses, ivresse de nos corps à corps.
Cette savoureuse harmonie à fait de ma vie.
Un refrain, un murmure pour un amour infini.
Chaque note déposée sur une partition.
Est un merveilleux chant reflétant ma passion...
- Imagine -
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A la perte de nos rêves
La vie a comme un goût de rien
Mais lorsque le jour se lève
Tu dois paraître quelqu’un
Lorsque l’on perd ses rêves
Haine et douleur prennent le dessus
Mais au petit matin, à l’aurore
Il faut se dire que tout cicatrise
Lorsque les rêves ne sont plus
C’est un océan de larmes qui déferle
Un seul regard sur cette princesse, petite perle
Me dit que le bonheur n’est pas un fruit défendu
A la perte de ses rêves
L’espoir laisse place à un immense chagrin
Mais rien ne s’achève
Il faut avoir confiance en son destin
Lorsque l’on perd ses rêves
Te confier tu dois
Pour ne pas faire monter la fièvre
Dans ton lendemain
Lorsque les rêves ne sont plus
Il reste le souvenir de cette maman
Pour te dire «je t’aime» ne sois pas déçu
Tu sais l’amour est grand
Ne perdons pas nos rêves
Partons sur un autre chemin
Pour un plus beau destin
Mettons un sourire sur nos lèvres